Site icon Always For Keyboard

[TEST] On casse de l’hérétique avec panache dans Warhammer 40,000 : Darktide

darktide 28

Successeur direct de Vermintide 2, le futuriste Darktide est le dernier jeu sorti par Fatshark, le 30 novembre 2022. Votre rôle ici est de libérer la cité-ruche Tertium avec votre groupe d’acolytes, rebus de la société et à peine dignes de servir l’Inquisition.

Vous avez accès à une dizaine de cartes et missions qui peuvent être réalisées dans différentes difficultés. Sont également mis à votre disposition un marchand d’armes et cosmétiques d’armures, un entrainement, du craft d’armes, des ordres de missions et, obviously, une boutique en ligne. Le studio suédois reprend donc les ingrédients de sa recette gagnante, mais pour les cuisiner cette fois-ci dans un lointain futur.

Futur où, si besoin est de le dire, il n’y a que la guerre !

 

 

 

 

 

 

 

L’ambiance générale du jeu est totalement cohérente à la situation, lourde et sombre, sans rentrer dans le cliché du gotico-gothique avec des crânes partout et des personnages aux voix ténébreuses à outrances. On se retrouve dans des environnement gigantesques dans lesquels nous sommes tout petit et d’où sortent des nuées de zombies qu’il vous faudra canaliser pour mieux les tuer. Vous passerez d’une bibliothèque à une gare sans vous rendre compte du trajet ; couplé à l’ambiance sonore des lieux et musicale des combats, l’atmosphère est tout à fait réussie sur Darktide !

Là réussite de Fatshark s’axe surtout sur un point particulier : le grandiose. Les fonderies comme les entrepôts sont démesurément grands, preuve s’il en est de l’industrie guerrière de l’Imperium. La dimension gargantuesque de Warhammer 40,000, où tout est poussé à l’extrême, est parfaitement retranscrite dans cette sous-ruche gigantesque, et pourtant si oppressante.

 

 

 

 

 

 

 

Avec l’introduction des armes à distances, il vous faudra faire le choix entre fusil d’assaut et épée tronçonneuse pour massacrer de l’hérétique. Bien que la question ne se pose plus lorsqu’une horde de zombies vous rush ! Il existe dans le bestiaires de Darktide d’autres ennemis que ces derniers, en effet, vous pourrez tomber sur celui qui vous prend dans son filet et vous tire à lui, celui qui vous rush et explose partout, celui qui vous rush et vous tabasse, ou encore le sniper. Chacun de ces ennemis est fait pour que vous jouiez de manière groupé, si certains peuvent se gérer seul, d’autres vous demanderons de la coopération afin d’en venir à bout. Je pense notamment à celui avec son filet dont vous ne pourrez sortir qu’avec le concours d’un allié, au risque de rester au sol ; l’union fait définitivement la force, en particulier dans des environnements aussi hostiles.

Dans l’ensemble, les combats rythment correctement votre progression, même si nous avons pu constater pas mal de crash durant certaines phases, que ce soit lors d’un boss ou bien à l’entrée d’une salle. Ceux-ci peuvent être récurrents, mais ne vous inquiétez pas, une fois le jeu relancé, vous aurez la possibilité de rejoindre la mission dans laquelle vous étiez. Des optimisations à venir corrigeront sans doute cela, et éviteront à la nervosité des combats d’être interrompue par quelque chose d’aussi trivial qu’un crash.

 

 

 

 

 

 

L’artisanat ayant été en parti introduit lors de la beta, nous n’avions pas accès à toutes les possibilités de celui-ci. On avait donc croiser les doigts pour le voir être complété au lancement officiel de Darktide, et puis non. Aujourd’hui il n’est toujours possible que de Consacrer ses armes (les faire passer d’un rang à un autre supérieur) mais rien de plus. Beaucoup d’autres possibilités restent grisées ou bien affichées comme « arrivant bientôt« . Mais le jeu est sorti depuis une petite semaine et nous n’avons toujours pas de date potentielle d’ajout de ces fonctions.

Par contre si vous privilégiez le style au skill, la boutique en ligne, elle, est bien active et opérationnelle en tout point ! A vous de voir pour qu’elle option votre cœur balance…

 

 

 

 

 

 

 

On a aimé :

 

On a moins aimé :

 

 

 


NOTE FINALE


80 / 100


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quitter la version mobile